
24, place du Panthéon
accès par la rue Clotaire

Eau forte, aquatinte et pointe sèche
matrice : 42 × 15 cm, estampe : demi-jésus italien, 2009.
24, place du Panthéon
accès par la rue Clotaire
Eau forte, aquatinte et pointe sèche
matrice : 42 × 15 cm, estampe : demi-jésus italien, 2009.
Dans le cadre de l’exposition « Hors-les-murs » Chassé-croisé, le Musée de la chasse et de la nature expose, du 24 juin au 5 novembre 2017, une partie de ses collections en Haute-Saône, au musée départemental d’arts et traditions populaires Albert et Félicie Demard sis au château de Champlitte. Le court-métrage d’animation, Furia dei Furetti que nous réalisâmes, Anaïs Caura et moi, y figure en bonne place et contribue au dialogue malicieux entre art ancien et art contemporain initié par cette exposition, en ce superbe lieu dédié aux arts et traditions populaires.
http://www.chassenature.org/chasse-croise/
t o u t
Du samedi 7 au samedi 28 janvier 2017
de 15 h 30 à 17 h 30
à la médiathèque de Bagnolet
Si vous ne savez rien faire, lisez Tout. Rêver, hacker le temps, redevenir vierge et vivre sans dieu, tous les tuto’ sont dans Tout. Le tutoriel est un guide d’apprentissage sous forme papier ou vidéo. La revue Tout ré-interprète le genre en vous proposant des tutoriels pratiques, ludiques, poétiques, voire politiques. Une invitation à l’apprentissage de pratiques réelles ou rêvées, individuelles ou collectives. Pour des bibliophages et des bibliophobes. Et si vous voulez en savoir un peu plus sur la naissance de cette revue, venez à la rencontre de ses deux créatrices, Judith Chouraqui et Sarah Lapalu, des éditions Vingt-et-un-vingt-neuf-sept.
À cette occasion seront présentés à la médiathèque de Bagnolet des extraits du second volume, à paraître cette année et exposés les dessins originaux que Anne-Hélène Dubray, Éloïse Guisiano, Magali Dulain, Zoé Pollard, Dav Guedin, Étienne Panier, Florent Grouazel, Franck Omer, Gabriel Quesnel, Simon Fusté de Bona et moi-même avons réalisés pour le premier numéro de Tout savoir faire.
médiathèque de Bagnolet
1, rue Marceau – 93170 Bagnolet
Gallieni (ligne 3 du chemin de fer métropolitain)
http://mediatheque.ville-bagnolet.fr/Festival-Traits-Bulles-2017.html
vernissage le samedi 7 janvier à partir de 17 h 30
présentation-discussion le samedi 14 janvier à 17 h 30
vente-dédicace tous les samedis, de 15 h 30 à 17 h 30
et le vendredi 27 janvier de 18 h 00 à 21 h 00
f /toutsavoirfaire
Vous y trouverez les dessins originaux ainsi que leurs auteurs vous permettant de Vivre sans Dieu grâce à Dav Guedin · Créer un rite grâce à Eloïse Guisiano · Provoquer l’amour grâce à Anne-Hélène Dubray · Ouvrir une bouteille de vin grâce à Magali Dulain · Rajeunir un hortensia grâce à Gabriel Quesnel · Avoir la main heureuse avec un melon grâce à Zoé Pollard · Faire sans coiffeur grâce à Simon Fusté de Bona et enfin de Baiser en bonne société grâce à votre très humble et très dévoué serviteur.
Le salon Impression 2016 réunit à Barbizon cinq centaines d’estampes bucoliques d’Alexandre Baldo, Livio Ceschin, Jeanne Clauteau, Isabelle de Font-Réaulx, Vitali Gubarev, Nicole Guezou, François Houtin, Iffic, Ikuta Koji, Claire Illouz, Anna Jeretic, Mikhail Kocheshkov, Astrid de La Forest, Dominique Le Page, Françoise Leroy Garioud, Abderrahmane Mada, Maurice Maillard, Jean-Michel Mathieu-Marie, Jacques Meunier, Nakajima Tsuzen, Juan de Nubes, Isabelle Panaud, Tony Pecoraro, Brigitte Perol-Schneider, Anne-Sophie Runel-Belliard, Juliana Salmon, Marjan Seyedin, Zarco Smiljanic, Véronique Sustrac, Serge Terzakian, Bijana Vukovic, Watanabe Mikio, Safet Zec et de moi-même.
Je participe plus qu’humblement à l’exposition collective Cachet de la poste faisant foi et serai ce mardi à la villa Mallet-Stevens.
CACHET DE LA POSTE FAISANT FOI
exposition collective
à la
fondation Hippocrène
villa Mallet-Stevens
12, rue Mallet-Stevens
75016 PARIS
station Ranelagh (ligne 9)
du lundi 11 au lundi 25 janvier 2016
tous les jours de 14 heures à 20 heures.
vernissage le mardi 12 janvier à partir de 18 heures
commissariat : Valentine Busquet
www.art4eu.net
connil, conil, [kɔnil], substantif masculin,
Vieux, littéraire, lapin. Du latin cvnicvlvs de même sens, mot d’origine ibérique selon Pline (voir Ernout-Meillet).
Je connais un autre connin
Que tout vivant je voudrais prendre.
Sa garenne est parmi le thym
Des vallons du pays de TendreApollinaire, Le Bestiaire, Le Lapin, 1911, page 11.
La chasse seigneuriale est l’un des « plaisirs des champs » réservé aux détenteurs de privilèges. […] [E]lle n’a pas le caractère protocolaire et fastueux des chasses royales. Elle garde un caractère utilitaire, qu’il s’agisse de protéger les récoltes et les troupeaux ou de garnir les tables en venaison. De nombreuses pratiques cynégétiques sont alors en usage. Certaines d’entre elles, comme les techniques de piégeage, n’ont plus cours aujourd’hui ou sont assimilées au braconnage.
Au xvie siècle, le mot de garenne s’applique à des espaces le plus souvent boisés servant à la multiplication des lapins. […] Ces endroits avaient une fonction économique, mais aussi une connotation de prestige pour les seigneurs, selon l’état de leur peuplement et la gestion des ressources. […] [L]e lapin s’[y] attrape plus qu’il ne se chasse. [il] est synonyme de prolifération, de pullulement. Sa population doit être maîtrisée afin d’éviter des dégâts sur les cultures…
En parallèle aux Chasses nouvelles
du mardi 17 mars au dimanche 14 juin 2015
diffusion des films d’animation au salon de compagnie
Musée de la chasse et de la nature
62, rue des Archives
75003 PARIS
du mardi au dimanche, de 11 heures à 18 heures
nocturnes les mercredis jusqu’à 21 h 30
http://www.chassenature.org/fr/le-musee/les-expositions/les-chasses-nouvelles
Chasseurs sachant chasser : les chasses seigneuriales au xvie siècle
du samedi 28 mars au dimanche 1er novembre 2015
Château de Kerjean
29440 SAINT-VOUGAY (Finistère)
du mercredi au lundi, de 14 heures à 17 h 30
ouvert les mardis du 1er juillet au 31 août, de 14 heures à 18 h 30
http://www.cdp29.fr/fr/agenda/view/221/chasseur-sachant-chasser/
En l’an de grâce 2007, Anaïs-Marthe Caura découvre et explore l’atelier de gravure de l’École nationale supérieure des arts décoratifs. Elle y trouve, entre deux presses, enseveli sous les encres grasses et les tarlatanes, l’aimable Hyacinthus qui occupe les lieux depuis une année. Elle jouait d’un bois depuis sa tendre enfance, une clarinette, elle découvre à présent qu’elle peut aussi le graver. Il jouait d’un cuivre depuis deux ans, le trombone, il le grave également et en fera son grand projet de diplôme.
À peine sorti de l’École, Hyacinthus taille et mord ses matrices sous les toits de zinc parisiens. Anaïs, morte de froid, se réchauffait au Canada français au moyen de pièces de bois qu’elle ne daignait épargner du bûcher qu’afin de pouvoir les tailler. À Paris ou à Montréal, tout deux sont pris de fièvres tropicales et c’est au gré de leurs pérégrinations oniriques que pour la première fois ils atteignent et débarquent en ces territoires fabuleux. C’est en ces contrées qui se confondent et se sur-impriment que tous deux se retrouvent.
Elle en taille d’épargne, lui en taille-douce, Anaïs et Hyacinthus documentent méthodiquement et minutieusement ces terres nouvelles, leurs jungles luxuriantes, leurs abysses infinis ainsi que de la faune et de la flore qui les habitent.
Hier à Rio de Janeiro et à Montréal, très bientôt à Clermont-Ferrand, ces nouveaux explorateurs présentent leur fond documentaire afin de faire connaître et protéger ces contrées merveilleuses où la main de l’homme n’y a jamais mis le pied.
Vernissages
triennale : samedi 11 octobre.
exposition : samedi 18 octobre.
Triennale mondiale de l’estampe et de la gravure originale
http://www.mondialestampe.com